Moyens de l'O.M.O

Représentant Mézène a écrit:Henri Adler : Dans un proche avenir, l'APELEM, l'Agence de Préservation de l'Environnement de la LEM, pourrait se doter d'un navire océanographique, les discussions ont d'ailleurs lieu en ce moment (lien).

Avec ce navire océanographique que nous mettrions à la disposition de l'OMO, l'APELEM souhaite apporter son soutien à cette organisation.

Je vous tiendrai au courant.

Ewen a écrit:

Nous lançon aujourd’hui 16 février 2018, la construction de Micromer Explorateur. Tout les ingénieurs des chantiers de Fergan planchent depuis des mois sur la conception technique de l'idée de base dictée par nos Doyens :

-Une Unité Navale (car on ne peux pas vraiment parler de navire) ayant la capacité d'avoir une partie sous-marine importante avec des zones pressurisées.
-Une Plateforme (on est plus proche de la réalité) capable de se déplacer uniquement à l'énergie solaire et éolienne.
-Un espace maximum dédié aux laboratoires scientifiques
-Une base pour des sous-marins d'exploration.
-Une hauteur suffisante pour capter le maximum d'énergie éolienne.

Voilà les grandes lignes du cahier des charges. L'aide des ingénieurs d'Eole Corp., de Maxima Corp., de Drop Corp. et de l'Université d'Ebur a été nécessaire pour concrétiser ce qui n'était qu'un projet. Il s'agit donc d'une bonne coopération entre le secteur privé et public qui a abouti à Micromer Explorateur (ME).

Micromer Explorateur est bien entendu destiné a être mis à la disposition de l'Organisation Micromondiale Océanographique (OMO) pour sillonner les mers du Micromonde.

Micromer Explorateur

Ewen
Ministre de la Marine

Azanii a écrit:Cependant la LED ayant construit récemment deux navires océanographiques qui nous apportent satisfaction, les chantiers navals de Fergan sont tout à fait disposés à fournir les plans.

Charte de l'Organisation Micromondiale Océanographique

Préambule :

Tout scientifique souhaitant participer aux recherches de l'Organisation Micromondiale Océanographique (O.M.O) est le bienvenue quel que soit sa nationalité, les éventuelles sanctions de l'ONA qui touchent son pays, ou même en temps de guerre entre les pays des membres de l'organisation.


Chapitre premier : Des buts

1. L'Organisation Micromondiale Océanographique (OMO) est une organisation scientifique internationale qui a pour but l’étude scientifique des mers, océans et littoraux sous tous ses aspects : biologiques, géologiques, archéologiques et climatiques. Elle a son siège à Fergan, sur l’île de la Ligue Eburnéenne Décanale.

2. Elle peut en outre émettre des conseils ou des recommandations.

Chapitre deux : Des membres

3. En dehors des Etats-membres fondateurs, signataires initiaux de la présente charte, tout Etat de l’Archipel peut adhérer à l’OMO s’il est coopté par deux autres Etat-membres et qu’il ratifie la présente charte.
Tout scientifique peut participer aux missions de l'O.M.O mais ne pourra pas participer aux instances dirigeantes si son pays n'est pas membre de l'organisation.

Chapitre trois : Des instances

4. L’OMO comprend un Conseil Scientifique, composé d’un représentant de chaque Etat-membre. Les représentants doivent être des scientifiques nommés discrétionnairement par les Etats-membres.

5. Le Conseil Scientifique peut accueillir des observateurs, représentant d’autres organisations internationales. Ils doivent être coopté par deux Etat-membres pour entrer au Conseil Scientifique, mais ne peuvent pas, eux, coopter de nouveaux membres. Ils peuvent participer aux discussions, mais ne peuvent pas prendre part aux votes.

6. Le Conseil Scientifique définit les objectifs de recherche de l’OMO. Il organise et planifie les missions scientifiques de l’OMO.

7. Le Secrétaire exécutif de l’OMO modère les discussions du Conseil Scientifique, représente l’OMO à travers l’Archipel, tient à jour l’état des moyens scientifiques mis à dispositions de l’OMO par les Etats-membre et organise les archives de l’OMO.

8. Le Secrétaire exécutif est assisté dans ses missions d’un Secrétaire exécutif adjoint. Ils sont élus en ticket tous les 4 mois par le Conseil Scientifique, parmi les représentants. Les représentants élus sont remplacés.

Chapitre quatre : Des missions

9. Les missions sont proposées par le Secrétaire exécutif ou par les représentants. Les discussions au sein de Conseil Scientifique permettent de définir les modalités de la mission, son but, ses moyens et ses participants.

10. Si le Secrétaire exécutif et les représentants peuvent tous donner leur avis sur la pertinence d’une mission, il n’existe pas de vote ni d’empêchement possible. La participation à une mission est uniquement une démarche volontaire.

11. Lors de leurs participations aux missions de l’OMO, les Etats-membres s’engagent à mettre à disposition de la mission des moyens techniques et humains leurs appartenant.

Chapitre cinq : Des recommandations

12. Le Conseil Scientifique émet des recommandations, voté par les représentants, destinées à un ou plusieurs pays, ou à l’ensemble de l’Archipel.

13. Ces recommandations concernent la préservation des écosystèmes marins et littoraux, ainsi que la gestion et prévention des risques liés aux océans.

Chapitre six : De la charte

14. La présente charte peut être modifié par vote du Conseil Scientifique.

Hannibal Ier
Empereur du Gwangua

Kouamé Moutawa a écrit:

L'Empereur vient de décider de mettre deux navires océanographiques à disposition de l'OMO, Le Tẽku qui signifie "La Mer" en gwanguama et Le Teku qui signifie "l’Océan" (oui les accents...)

Le Tẽku est un navire polyvalent, il peut réaliser des travaux sous-marins, le positionnement de balises etc...Il est conçu à l'origine comme un bateau océanographique avec des espaces aménageable rapidement en laboratoires et des grues pour la manipulation de petits sous-marins pouvant aller jusqu'à 10 mètres.

Le Teku est à la base conçu pour poser des câbles de communication mais çà large plateforme arrière lui permet de mettre à l'eau des sous-marins de grande dimension grasse à ses treuils très puissants. Ainsi il peut être adapté à des mission océanographiques ayant de vastes espaces intérieur modulable en laboratoires et lieux de vie.

Après quelques aménagement ils seront très vite opérationnel si nous pouvons obtenir des sous-marins d'océanographie que nous ne possédons pas. Mais bien des missions peuvent se faire sans. Des chercheurs gwanguamas seront à bord quand ils arriveront à Fergan mais il y aura de la place pour d'autres scientifiques. L'Empereur souhaite que le capitaine sous les ordres de l'OMO reste un gwanguama c'est sa seule exigence. L'Empereur a signé la charte engageant tout les scientifiques de l'Empire et en particulier ceux de l'Université de Sogol qui formeront la majorité des effectifs.

Charte de l'Organisation Micromondiale Océanographique

Préambule :

Tout scientifique souhaitant participer aux recherches de l'Organisation Micromondiale Océanographique (O.M.O) est le bienvenue quel que soit sa nationalité, les éventuelles sanctions de l'ONA qui touchent son pays, ou même en temps de guerre entre les pays des membres de l'organisation.


Chapitre premier : Des buts

1. L'Organisation Micromondiale Océanographique (OMO) est une organisation scientifique internationale qui a pour but l’étude scientifique des mers, océans et littoraux sous tous ses aspects : biologiques, géologiques, archéologiques et climatiques. Elle a son siège à Fergan, sur l’île de la Ligue Eburnéenne Décanale.

2. Elle peut en outre émettre des conseils ou des recommandations.

Chapitre deux : Des membres

3. En dehors des Etats-membres fondateurs, signataires initiaux de la présente charte, tout Etat de l’Archipel peut adhérer à l’OMO s’il est coopté par deux autres Etat-membres et qu’il ratifie la présente charte.
Tout scientifique peut participer aux missions de l'O.M.O mais ne pourra pas participer aux instances dirigeantes si son pays n'est pas membre de l'organisation.

Chapitre trois : Des instances

4. L’OMO comprend un Conseil Scientifique, composé d’un représentant de chaque Etat-membre. Les représentants doivent être des scientifiques nommés discrétionnairement par les Etats-membres.

5. Le Conseil Scientifique peut accueillir des observateurs, représentant d’autres organisations internationales. Ils doivent être coopté par deux Etat-membres pour entrer au Conseil Scientifique, mais ne peuvent pas, eux, coopter de nouveaux membres. Ils peuvent participer aux discussions, mais ne peuvent pas prendre part aux votes.

6. Le Conseil Scientifique définit les objectifs de recherche de l’OMO. Il organise et planifie les missions scientifiques de l’OMO.

7. Le Secrétaire exécutif de l’OMO modère les discussions du Conseil Scientifique, représente l’OMO à travers l’Archipel, tient à jour l’état des moyens scientifiques mis à dispositions de l’OMO par les Etats-membre et organise les archives de l’OMO.

8. Le Secrétaire exécutif est assisté dans ses missions d’un Secrétaire exécutif adjoint. Ils sont élus en ticket tous les 4 mois par le Conseil Scientifique, parmi les représentants. Les représentants élus sont remplacés.

Chapitre quatre : Des missions

9. Les missions sont proposées par le Secrétaire exécutif ou par les représentants. Les discussions au sein de Conseil Scientifique permettent de définir les modalités de la mission, son but, ses moyens et ses participants.

10. Si le Secrétaire exécutif et les représentants peuvent tous donner leur avis sur la pertinence d’une mission, il n’existe pas de vote ni d’empêchement possible. La participation à une mission est uniquement une démarche volontaire.

11. Lors de leurs participations aux missions de l’OMO, les Etats-membres s’engagent à mettre à disposition de la mission des moyens techniques et humains leurs appartenant.

Chapitre cinq : Des recommandations

12. Le Conseil Scientifique émet des recommandations, voté par les représentants, destinées à un ou plusieurs pays, ou à l’ensemble de l’Archipel.

13. Ces recommandations concernent la préservation des écosystèmes marins et littoraux, ainsi que la gestion et prévention des risques liés aux océans.  

Chapitre six : De la charte

14. La présente charte peut être modifié par vote du Conseil Scientifique.

Hannibal Ier
Empereur du Gwangua

Azanii a écrit:

L'université d'Ebur octroit à titre gracieux à l'OMO des robots sous-marins destinés au deux navires océanographiques de l'Empire du Gwangua à disposition de l'OMO, Le Tẽku qui signifie "La Mer" en gwanguama et Le Teku qui signifie "l’Océan".

Soit deux jeux de ces trois robots :

-Decan-1 : munit de bras téléguidables, pouvant descendre à -3000 mètres
-Décan-2 : Robot d'exploration contrôlé par câble pouvant descendre à - 6000 mètres
-Décan-3 : Robot autonome pouvant descendre à -3000 mètres

Chacun ayant sa spécialité : récolte d'échantillons, exploration profonde, cartographie, tout en restant polyvalents.

Hannibal Moutawa a écrit:

Moi Hannibal Ier, Empereur du Gwangua,

Demande la fabrication de sous-marins civils habitables destinés à l'exploration scientifique. Ils devront être déployables à partir des navires océanographiques de l'Empire du Gwangua à disposition de l'OMO, Le Tẽku qui signifie "La Mer" en gwanguama et Le Teku qui signifie "l’Océan".

L'université d'Ebur nous a fait dont de 6 robots sous-marins pour équiper ces deux navires, nous souhaitons maintenant être autonome pour les sous-marins habitables et faire mieux qu'eux pour leur rendre l’ascenseur. Il s'agit donc d'un nombre minimum de quatre sous-marins habitables que je vous demande de mettre au point et de construire.

Il devront pouvoir atteindre la profondeur d'au moins 10 000 mètres tout en gardant des capacités d'observation et de prélèvements d'échantillons ainsi que toutes fonctionnalités nécessaires aux missions océanographiques.

Ce programme devient prioritaire sur tout les autres. Bous demandons aux civils et aux militaires de mettre leurs compétences en commun.

Car c'est mon bon plaisir,

Hannibal Ier
Empereur du Gwangua

Votre Altesse Impériale,

Voici notre projet le plus aboutit, il est polyvalent. Initialement prévu pour la récupération d'équipage de sous-marins en détresse, une version très renforcée a été mise au point pour les plongées très profondes.

Cette dernière version n'a jamais été fabriquée faute de besoin, mais nous sommes en capacité de reprendre le projet immédiatement. Le cahier des charges prévoyait une profondeur opérationnelle de 10 000 mètres, des hublots d'observation et des bras manipulateurs.

Kaguwa

Kouadio Assalé
Ministre de la Défense

Votre Altesse Impériale,

Visiblement votre Ministre de la Défense nous prends pour des perdreaux. Nous avons un projet très avancé de sous-marins destiné à récupérer des marchandises de haute valeur sur des épaves. Il a le même cahier des charges, une profondeur opérationnel de 10 000 mètres, des hublots et des bras manipulateurs avec un large bac de stockage d'échantillons.

Periwinkle

Afoué Bah
Dirigeante de la Division Navale Civile

Koutar a écrit:

Madame,

Tout les aménagement du Micromer Explorateur sont terminés, les zones pressurisée, les laboratoires, tout ce que vous avez demandez dans le cahier des charges. Il manque juste les sous-marins dans les garages. Il est à votre disposition.


Koutar,
Gérant des CNV

Azanii a écrit:

Monsieur Koutar,

Depuis la mise à l'eau du Micromer Explorateur qui a embarqué Le Poliac, le Zirii n'a plus de submersible habitable. Nous vous demandons donc de travailler sur un projet qui pourrait soit rejoindre le ME à la place du Poliac ou plus probablement être embarqué sur le Zirii. Voici le cahier des charges et le plan général du sous-marins MACIMAR I conçu par l'Université d'Ebur :

Équipage : 5 personnes (1 pilote + 4 passagers)
Profondeur : 500 mètres
Dimensions: 6.7 mètres x 2.8 m x 2.5 m
Poid à vide: 8,437 kg
Masse embarquée: 1,043 kg
Vitesse : 4 nœuds
Propulsion: 4 moteurs électriques
Durée à bord : 12 heures en conditions normales (5personnes)
Durée à bord en condition de survie : 96 heures (5 personnes)

Vous l'aurez compris ce sous-marin n'est pas destiné aux grandes profondeurs mais à l'étude de la faune et de la flore marine entre la surface et 500 mètres, là ou se trouve la majorité des espèces.

Azanii
Secrétaire Exécutif de l'OMO.